mercredi, juin 23, 2010

Bye bye Bafana's




Brésil in South Africa!


Vuvuzelas, match Brésil-Côte d'Ivoire


dimanche, juin 13, 2010

Coupe du monde, cérémonie d'ouverture


Le stade de Soccer City


Coupe du monde, crémonie d'ouverture


Coupe du monde, cérémonie d'ouverture


jeudi, juin 10, 2010

Un site Internet bien fait... pour ceux qui souhaitent suivre la Coupe du Monde

mercredi, juin 09, 2010

Aline est de retour au boulot!


A l'Afrique de Jouer...

Edito - Jeune Afrique - Edition spéciale Coupe du Monde - Marwane Ben Yahmed

Tous les quatre ans, le monde entier adopte un étrange comportement dès le mois de juin. les hommes et (certaines) femmes d'Europe, d'Afrique, d'Asie et des Amérique ne sont plus les mêmes: injoignables à certaines heures de la journée, fous de joie ou au contraire de fort mauvaise humeur quant, ô miracle, ils daignent répondre au téléphone, rassemblés autour d'un écran, petit ou grand, chez eux, dans la rue ou au café, parfois même sur leur lieu de travail, ils vibrent au rythme de la Coupe du Monde de football, de ses exploits, de ses déceptions, des rires et des larmes qui inondent nos télés, nos radios et nos journaux.

En Afrique, un Mondial de football, où qu’il se déroule, c’est déjà suffisant pour « scotcher »devant postes de télévision, écrans d’ordinateurs ou transistors les trois quarts de la population en âge d’ouvrir un œil ou de tendre une oreille, alors une coupe du monde de la FIFA sur ses terres, pour la première fois, imaginez ce que cela peut donner… Au pays de Nelson Mandela, icône parmi les icônes, qui plus est.

Il faut le reconnaitre et savoir ne pas verser dans l’Afro-optimisme béat ; c’est une pression énorme qui pèse sur les Sud-Africains. A la moindre anicroche, au moindre coup de sang, c’est l’Afrique tout entière qui en prendra pour son grade. « On vous avait prévenu, cela ne pouvait que déraper » pourra-t-on lire ou entendre à Paris, Londres, Milan, New-York ou Buenos Airs. Organisation, hébergement, transport, sécurité… Quatre mots, qui associés à l’Afrique, peuvent parfois sembler antinomiques. Et ce serait franchement faire preuve de mauvaise foi ou d’aveuglement que de nier les lacunes continentales en la matière… Naïveté et méthode Coué ne résolvent rien.

Mais l’Africa Bashing, le dénigrement systématique de l’Afrique, non plus. Il serait tout aussi stupide de ne pas imaginer une seconde que l’Afrique, dont le sens de l’honneur et de l’hospitalité n’est plus à démontrer, ne puisse mettre tout en œuvre pour réussir ce test planétaire. Et s’il est une nation capable d’organiser un tel événement, c’est bien l’Afrique du Sud.

On a entendu beaucoup de choses négatives ces derniers temps au sujet du pays de Jacob Zuma. Nombreux sont ceux qui doutent de sa capacité à se hisser au niveau requis. L’assassinat du leader extrémiste Eugène Terreblanche, le 3 Avril n’a fait que raviver le spectre de tensions raciales –et sociales- qui couvent comme le feu sous la braise. Un tragique épisode qui aura, hélas, servi de bref révélateur médiatique en Occident, avec son inévitable corollaire de clichés et de raccourcis. Ceux qui pensent que la Nation Arc-en-ciel avait définitivement chassé ses vieux démons se sont trompés. Mais ceux qui pensent qu’elle n’est que violence et inégalités également. L’Afrique du Sud d’aujourd’hui est une jeune nation, encore en construction. Elle apprend en marchant, sans repères, trébuche, et peine à tracer une ligne droite (…)

Panser les plaies, dont certaines sont encore béantes, d’une histoire marquée par une indescriptible violence et des discriminations extrêmes (…) ; tout cela ne se fait pas en un jour. C’est un long cheminement, le travail de plusieurs générations de Sud Africains, toutes origines raciales confondues, comme d’autres peuples sont parvenus à le faire ailleurs dans le monde, malgré un passé parfois tout aussi délicat à dépasser.
(…)

Week-end dans les Soutpansberg


Week-end dans les Soutpansberg


Soutpansberg


mardi, juin 01, 2010

Photo de groupe